jeudi 4 avril 2013

#ChallengeAZ D comme...Doré

Comme je l'ai déjà dit, j'ai une affection particulière pour les ancêtres de ma femme. Est-ce parce qu'ils sont les premiers sur lesquels j'ai fait des recherches un peu plus approfondies ? Ou alors parce qu'ils changeaient peu de zone géographique (et facilitaient ainsi les recherches) ? Quasiment tous (pour ne pas dire tous) les ascendants paternels de ma femme viennent d'une zone à la croisée des chemins entre Essonne (Buno-Bonnevaux, Gironville-sur-Essonne, Maisse, Milly-la-Forêt, Prunay-sur-Essonne), Loiret (Malesherbes) et Seine-et-Marne (La Chapelle-le-Reine, Nanteau-sur-Essonne, Tousson).

Source : Google Maps

Les Doré ne font pas exception à la règle. Ils apparaissent sur son arbre en 1844, lorsque Joséphine DORE épouse à Milly-la-Forêt (91) Alexandre Dominique NARDON. Joséphine est donc l'arrière-grand-mère d'Ambroise, dont nous avons parlé à la lettre A.



Comme on peut le voir, ils naviguent au gré des mariages entre Buno, Gironville et Boigneville (un cercle d'environ 5/6 kms de diamètre).

je me rappelle avoir été surtout intrigué par Noël Alexandre DORE, marié 3 fois, dont 2 jeunes femmes qui étaient cousines. Sa première épouse est décédée à l'âge de 39 ans, la seconde à l'âge de 32 ans. Au fur et à mesure des actes, on peut noter que la situation de Noël Alexandre semble s'améliorer, passant de manouvrier à laboureur pour finir cultivateur.

En terme de méthode, une fois le couple NARDON / DORE découvert, j'avais noté tous les actes DORE trouvés dans les tables décennales des villes en question et, au fur et à mesure de mes découvertes, j'ai réussi à recouper toutes mes informations et à rattacher tous ces DORE au couple de base Mathieu DORE / Marie MIGNOT.

Je travaille actuellement sur les registres de Gironville, qui me permettront je l'espère prochainement de remonter encore quelques générations.

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